BARBARA PEGG

Cet article a pour but de relater au mieux le lore de Barbara. Du fait de l’avancement du jeu et des données à disposition, cet article est fortement susceptible de varier au fil du temps, par rapport aux futurs apports du jeu, par le biais d’events, d’histoire et autres.

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HISTOIRE

Barbara est la diaconesse de l’Église de Favonius et « idole » autoproclamée depuis qu’elle en a appris sur ce concept grâce à l’intrépide aventurière Alice. Elle est la fille de Frederica Gunnhildr et de Seamus Pegg, ainsi que la sœur cadette de Jean.

Barbara est une personne charismatique qui fait de son mieux pour répandre la joie partout où elle va. Rien qu’avec sa présence, elle est capable de remonter le moral des mondstadtois. Depuis son plus jeune âge, elle reste optimiste malgré sa maladresse – de toute façon, elle est capable s’en remettre. C’est une travailleuse acharnée, mais elle peut parfois être dure avec elle-même : son complexe d’infériorité en ce qui concerne sa sœur aînée la poussée à vouloir la surpasser dans au moins un domaine, que ce soit par la popularité ou par les notes. Même aujourd’hui, elle continue de renier ses sentiments, mais elle l’aime tout autant, et ce de manière inconditionnelle.

Étant diaconesse de l’Église, Barbara est chargée de la garde des objets religieux. Par exemple, après avoir vu la Lyre sacrée Himmel endommagée, elle prit panique et refusa de laisser quiconque la voir après l’incident. De même, Dainsleif nous apprend que si elle avait appris le sort d’une certaine Statue manquante, elle aurait probablement ordonné aux chevaliers de la récupérer coûte que coûte.

Étonnamment, Barbara a un goût pour la nourriture et les boissons épicées, car cela la maintient éveillée afin d’être maximum de ses capacités. Par contre, elle n’aime pas les aliments amers.


CHANTEUSE À MI-TEMPS

Chaque habitant de Mondstadt adore Barbara mais cela n’a pas toujours été le cas. Au début, les chansons de Barbara semblaient étranges car pendant très longtemps, seules les chansons folkloriques des bardes étaient populaires à Mondstadt. Heureusement, la ville est restée fidèle à sa réputation de ville de la liberté, et la population a finalement adopté la nouveauté tout en continuant à chérir la tradition. Les mondstadtois ont accepté les chansons de Barbara et, petit à petit, il ont commencé à fredonner ses airs tout autour de Mondstadt.

Les sentiments de Barbara sur son propre succès sont mitigés. Bien sûr, elle a réussi le devoir d’une idole qui est de se faire adorer de tout le monde. Par exemple, elle a chanté pour l’aveugle Glory, pour que son amant revienne un jour. Elle a aussi chanté pour Anna, lui promettant que sa maladie sera un jour guérie. Pourtant, les sourires des visages ne durent jamais longtemps après la fin d’une chanson. Cela peut conduire Barbara à devenir quelque peu désillusionnée et douteuse d’elle-même.

MOTIVATION

Barbara a toujours été une fille brillante. Cependant, elle est considérée comme tout le contraire de sa sœur, qui est elle, la fierté de la famille. D’après eux, Jean a toujours été la définition même du succès. De ce fait, tout ce que Barbara souhaitait était de surpasser sa sœur, mais que ce soit à l’épée ou quoi que ce soit d’autre, elle ne put réussir. Mais malgré tout, jamais elle n’a abandonné. Sa détermination et sa résilience ont même surpris son père, Seamus Pegg, le Cardinal de l’Aube de l’Église de Favonius. En effet, elle se force à sourire quoi qu’il arrive.

Ainsi, on peut dire que son désir de reconnaissance s’est transformé en un désir d’aider les autres. Même avec toutes ses pensées décourageantes, elle saute rapidement sur ses pieds et ne se permet pas d’être déprimée pendant plus de trente secondes. Barbara continue de viser l’excellence, espérant être un jour utile à sa sœur.

Aujourd’hui, sa plus grande récompense est de voir le sourires sur le visage des ses fidèles. Par conséquent, à chaque fois qu’elle masse ses mollets enflés ou qu’elle boit un thé pour soigner son mal de gorge, elle se souvient de tous ceux qui ont été gentils avec elle. Peut-être que les sourires sont la preuve que ses chansons peuvent vraiment guérir, et c’est comme ça qu’elle devint soigneuse, sur conseil de son père.

ŒIL DIVIN

La façon dont Barbara a obtenu son œil divin n’est guère une histoire typique de d’héroïsme : elle venait de rejoindre l’Église et s’occupait d’un petit garçon avec une forte fièvre persistante. Rien de ce que Barbara pouvait penser ne consolait le garçon. Quelqu’un fit remarquer que bien qu’il avait déjà pris ses médicaments, il n’y avait aucun moyen de guérir la douleur de la disparition de sa famille. Puis, un autre suggéra que Barbara chante une chanson pour lui remonter le moral. Celle-ci n’avait jamais chanté de sa vie jusqu’à présent, mais comment pourrait-elle refuser dans un moment comme celui-ci ? « Ne jamais avoir chanté auparavant n’est pas une excuse pour abandonner un enfant », pensa Barbara. Et ainsi, Barbara prit le garçon dans ses bras et lui chanta une berceuse, la seule chanson qu’elle connaissait. 

Après s’être rendue compte qu’elle ne connaissait aucune parole, elle dû recourir à simplement fredonner l’air. Néanmoins, sa voix a commencé à apaiser l’enfant et elle a donc continué à chanter. Elle a chanté la même chanson, encore et encore, jusqu’à ce que sa gorge soit sèche et sa voix enrouée. Finalement, le garçon s’est endormi et Barbara, épuisée, s’allongea près du mur et s’endormit aussi.

Le lendemain matin à l’aube, lorsque Barbara se réveilla, elle découvrit que la fièvre du garçon avait baissé. Peut-être était-ce parce qu’elle avait chanté pour lui, ou que cela avait quelque chose à voir avec l’œil divin qui était mystérieusement apparu à côté de sa main dans la nuit. Elle de fut cependant pas préoccupée par cet  objet, mais ce fut plutôt la vue du garçon souriant à nouveau qui emplit son cœur de joie.

Barbara reçut son œil divin pour le souhait simple mais beau qui s’est emparé de son cœur cette nuit-là : un rêve de guérir les malades grâce aux pouvoirs de la chanson.